Quelqu'un va venir
Près d'une maison délabrée, complètement isolée au bord de la mer, un homme et une femme apparaissent.
À Propos
Voilà enfin le lieu où ils pourront être «seuls ensemble loin des autres». Mais la femme est obsédée par l'idée que «quelqu'un va venir». Et, effectivement, quelqu'un vient et cet homme à lui seul devient «les autres», réveillant les jalousies morbides du couple par sa seule présence.
Diffusions
- 14 au 23 novembre 2002
Théâtre français du Centre national des arts, Ottawa (Canada)
- 28 novembre au 14 décembre 2002
Usine C, Montréal
- 28 novembre au 14 décembre 2002
Usine C, Montréal
Crédits
Texte : Jon Fosse
Mise en scène et scénographie : Denis Marleau
Avec : Pierre Lebeau + Alexis Martin + Pascale Montpetit
Collaboration artistique et assistance à la mise en scène : Stéphanie Jasmin
Régie générale : Elaine Normandeau
Éclairages : Stéphane Jolicoeur
Musique : Denis Gougeon
Design sonore : Nancy Tobin
Costumes : Daniel Fortin
Maquillages et coiffures : Angelo Barsetti
Assistance au décor : Stéphane Longpré
Producteurs
Une coproduction d'UBU + Théâtre français du Centre national des arts
Revue de presse
ICI
Amélie Giguère“Denis Marleau est plasticien. Il peint au théâtre, construit des images fixes, épurées, toujours très soignées, puis se résout finalement à les animer, doucement. […] L’exaltation réside dans la fascination qu’insuffle l’objet – il s’agit bien d’un objet – qui berce et se déploie lentement sous nos yeux. Un objet presque trop parfait.
LE DEVOIR
Michel Bélair“On l’a dit un peu partout: c’est une production extraordinaire. Difficile. Exigeante. Mais de ce dépouillement voulu dans lequel s’incarne le texte de Jon Fosse, c’est d’abord la richesse de sens qu’en fait surgir Marleau qui s’impose.
THE GAZETTE
Matt Radz“Mounting near-perfection in a jewel-like setting is becoming director Marleau’s signature style.
VOO.CA
Geneviève Mallette“Je ne connais pas beaucoup de metteurs en scène capables d’aller avec autant d’acuité dans l’invisible et le non-dit. Denis Marleau sait définitivement magnifier un texte pour le porter à un niveau théâtral admirable et c’est là une qualité rare.
THE GLOBE AND MAIL
Kate Taylor“… an almost glacial but magnificently staged production of a script that flows from one of the most provocative pens in contemporary theatre.